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Les esclaves de la morale dans un certain tchat



Le principe de la morale en un certain tchat, prend son essor dans l'affrontement des forces en présence.
Ce qui signifie déjà qu'une morale est alors inventée car n'existant pas par des comportements naturels respectant des règles de conduite considérés alors comme une certaine conception de rapports amicaux du moins d'échanges sur fond de recherche d'une forme de bonheur.
Non ! Cette morale là se révèle alors subitement dans des affrontements de rapports de forces qui se télescopent et se reprochent, bien évidemment, sur les comportements d'autrui qui ne prendraient alors pas en considération la sensibilité de l'autre à qui est adressé ce principe de vie.
Par conséquent, le fort se révèle contre le faible et si le faible ne nie pas l'autre, il lui reproche de ne pas appliquer ce principe de morale pour qu'à son tour il devienne fort et alors contre le devenu faible. Nous le comprenons : Les forts et les faibles se confondent tout en gardant leur singularité, leur personnalité.
On remarque alors aussi que ces volontés de puissances s'affirment souvent aussi à prouver, aux autres et à soi-même, des choses, des richesses, des biens acquis ou pas ou futurs.
Une existence mais surtout un comportement qui en prendrait cette évidence toute moulée fraiche pour cette circonstance. Mais la volonté de prouver des choses est en même temps d'en douter car la personne possédant une richesse (intellectuelle, morale ou pécuniaire ou tout à la fois), cette personne là, n'a bien sûr rien à prouver ou à se positionner comme meilleure ou supérieure socialement et intellectuellement à l'autre.
Voilà ce à quoi un tchat que nous connaissons tous ici, se réfère toujours. Il se réfère, pourtant et toujours, au besoin de se rassurer, car personne ne sait ce dont sera fait demain ou tout à l'heure.
Souhaitons-nous alors le bien sans moralisation.

Sans titre

A lire un tchat, j'ai alors le souci de fabriquer un Personnel un Golem thérapeute et dont le condensateur Egrégore est déjà fabriqué ci-dessous ; plus qu'à capter les substances émettrices de mon énergie positive à celles de la nature afin de faire intervenir les Génies élémentaires conjointement aux forces gravitationnelles des planètes tout en prêtant une attentions particulière aux influences négatives errantes. La nourriture de ma création sera faite d'opinions et même d'avis sur divers sujets de discussions afin que la communication demeure parfaitement sans ambiguïté. Je suis toujours attaché à quelques évènements aux éléments composants fragmentés, distordant alors tout échange au caractère pourtant pragmatiques.

Un certain tchat

Le France Chat est le prisme difficilement prononcé et moins encore expliqué d'une société inquiète, aux citoyens désabusés. Des illusions de lumière éparpillées voire alors perdues par je ne sais quelles ombres au tableau, que peu ne tentent plus de se leurrer à en agglomérer quelques éclats retrouvés au gré de ses difficultés existentielles afin de grapiller une forme de joie, de bonheur composé de cette lumière comme on pouvait s'en satisfaire autrefois. Nous mettons alors nos espoirs et refoulons nos doutes et nos craintes à l'aide, par exemple, d'un projet souvent lié au matérialisme, bien réel celui-là et qui rend tout heureux, finalement nous ne savons plus patienter pour une vie meilleure, sans doute parce que la vie organique nous échappe à grande vitesse de désagrégation.

...en cet instant...

Je suis là, comme enfermé dans mon existence, admettant sans retenue, ma résistance à me maintenir droit face à l'éternité et la solitude terrestres.

J'aime réfléchir ma solitude. J'aime surtout l'appréhender dans le silence. Qu'aucun bruit ne vienne la perturber toujours inutilement pire même, la transformer soudainement en peurs et angoisses.
Ma solitude s'entend et ne se voit bien que dans mon milieu domestique; elle se vit alors.

Ma solitude me parle dans le silence jusqu'à parfois me croire au milieu d'autres... présences.

J'essaie alors de ne pas confondre ma solitude avec mes doutes et mes peurs, une petite occupation me met en relation facilement avec Elle.

Lorsqu'un doute me fait alors chavirer dans le bruit, ma solitude fait place à mon ennui. Elle ne s'impose jamais.

Je crois ou définit comme solitude, ce qui est peut être au contraire ma relation avec un monde qui m'attend, durant un jour de cette Solitude.
Une solitude aux prémisses annonciatrices de l'éternité.






...

Il y a sans doute beaucoup plus heureux à vivre en adoptant une existence beaucoup plus simple. Point de superflu nous renvoyant fatalement à notre solitude alors qu'il est tout à fait souhaitable de s'oublier pour être heureux.
Vivre sans luxe mais confortablement. Aimer la compagnie du foyer familial. L'hiver sans véritable obstacle ou défit à relever et même en été.
Vivre d'être heureux d'exister.
Continuer le chemin comme si rien de dramatique ne nous avait accablé.
Mais surtout à la manière de faire comme d'antan car je suis absolument certain alors, de n'être pas seul en cet instant.
Adultes, c'est notre enfance psychologique, qui continue d'exister. Le physique nous jouant trop de mauvais tours. Vivement poussières.

...

Etre seul est subir cette liberté. Être libre est subir également cette solitude. Le sentiment de liberté se subit alors car il faut emplir un néant qui nous renvoie à notre image et à l'image même de notre néant psychologique et parfois physique.
Alors si je pouvais n'être que poussières ici bas pour ne point subir, cela m'arrangerait. C'est alors que le sentiment de la mort devient réconfortant hormis bien naturellement de ses prémisses toujours dramatiques alors ne concernant qu'une personne seule et libre de tous liens affectifs, nous sommes d'accord.
En famille nous ne sommes jamais seuls, ds cette mesure seule où on ne se mesure pas aux différences de nos êtres chers dont leur seule présence et leur seule absence parfois, pleines de confiances vont tout à fait de soi.

Repoussons l'échéance du mieux que nous le pouvons faire que par la Lumière du bonheur et de la joie car tout peut s'arranger et qu'alors rien n'est jamais impossible à se réaliser.





Quelqu'un

Sommes-nous si petits et vulnérables humains, pour faire appel à l'Inconnaissable, lorsque, l'un de nous, aimé, subsistant pourtant par lui-même et en nous-même aussi, ayant pour égalité de croire, ensemble, capable de faire front au danger immédiat quand il se manifeste ? Non bien sûr que non nous ne sommes pas à nous tromper sur la durée de notre vie et face à l'éternité; mais surtout sur notre déchéance physique fatale et même en reculant l'échéance jusqu'au terme de notre délai exutoire prolongé au plus long de l'échéancier accordé.
Mais sans pour autant connaitre les secrets de l'univers qui ne nous serviraient à rien de connaitre, il est d'ordre plus simple de demander son aide non pas pour nous quoi que, mais pour un être cher, complètement rendu indispensable à notre existence...
Et si les désirs des biens célestes nous échappant complètement, ayez grâce Seigneur-Dieu, de nous accorder les désirs des biens terrestres aux tous jeunes ages d'abord; car viendrons avec nous et le temps présent, notre accomplissement nécessaire à ici bas.

Samedi matin

Après une semaine ennuyeuse et rapeuse, un aperçu depuis vendredi soir, du samedi matin, en toute logique parfaite, m'offrant volontiers sa grâce matinée pour me fondre dans un réveil long et surtout confortablement installé devant l'écran de mon ordinateur.
Un mug de café déjà bu, m'en annonçant déjà un second, me prouve cette réalité. Apparemment alors aucun problème en vue et tout en tchatchant je vais nonchalamment.
Déjà cette heure, me pointe sévèrement de son doigt le soleil à l'horizon formé au-dessus des toits des maisons. Le ciel et son bleu-blanc écrase ses couleurs.
Pourquoi ne pas m'approprier cet instant à faire durer à l'horloge numérique de mon ordinateur ? Bien sûr que j'y avais jeté un oeil.
Dans le courant de la journée pourtant, il me faudra faire un peu le ménage chez moi, seul point noir à ma perspective oisive mais qui m'assurera à mon bien-être. Une lecture m'accompagnera également au cours de ce vif sentiment domestique que les Dieux Pénates se verront tout à fait ravis.
Ce midi, une pizza/salade me fera franchir une nouvelle étape en s'additionnant à mon petit et simple bonheur.
Allez, j'espère aussi vous lire sur ce Chat Room que nous avons en commun; additionnons-nous, s'il vous plait de le faire.




Ce soir

Comme tout cela m'apparait soudainement bien bizarre, depuis mon enfance de me débattre à déjà survivre dans mon existence et à aujourd'hui encore.
Pourtant je n'avais rien à craindre et sur ma perception d'enfant m'apparaissait alors cette évidence sécuritaire. Aujourd'hui encore, mais l'angoisse et même la peur sont chevillées à l'âme, je crois bien.

Enfance sans souci et sans problème particulier mise à part peut être les bousculades, les brutalités et les méchancetés conscientes ou pas, d'autrui.

Je n'ai même jamais perçu le souci de l'avenir incertain comme d'une évidence qu'il m'aurait alors fallu vaincre envers et contre tous et pour ma propre survie.
Non, je me laissais vivre. Quoi de plus normal, il ne me fallait rien faire vraiment de spécial pour vivre alors pourquoi cette parfaite contradiction; d'un côté une affliction, de l'autre un état lattent insouciant. Je crois savoir que les adultes et en ce qui concernait chaque personne, percevait le monde à sa manière et souvent dramatiquement. De dramatique, je n'ai vécu que la mort de mes parents. L'enfance est d'abord apprendre à se séparer de son bien le plus précieux. Voilà, ce que je ne pouvais pas savoir.



L'hiver déboule

Janvier dans son dix-septième jour endure l'hiver depuis un mois déjà.
Il nous a été clément depuis lors, mélangeant aussi vent et pluie.
S'habillera-t-il dans ses jours proches du costume bleu d'une lumière froide.
Nous fait-il signe aussi par la fraîcheur printanière en nous montrant les premières pâquerettes dans le gazon vert.
Même s'Il garde encore les rameaux au noir, bientôt sortiront les premiers bourgeons car ils ne craignent pas le froid de printemps; les hommes oui.
Je suis patient pour chaque jour à vivre de froid et d’espérance.
Les moineaux me rendent confiance, ils me disent : Tu vois, nous ne changeons pas car nous sommes le gardien de votre bien précieux, l'enfance et comme nous, tu y retourneras un jour. Un jour d'hiver sans doute.





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